en attendant Tokyo

Boulot. Cela va; Paris est comme vidé. Cool.

Moins ou presque de personnes dans les rues et tout...

Ai avalé mes sentiments pour aider une quidam qui fut à mes yeux une amie. je ne laisserai jamais quelqu'un dans la mouisse. Pas mon genre. N'ayant pas de haine en encore moins de rancune, le passé est hier (and "yesterday don't matter if it's gone"), je m'inquiète tout de même. Je prends soin encore, parce que je ne sais être bête à ne pas aider parce qu'elle a heurté mes sentiments. Elle n'est plus mon amie. Je n'ai pas à rester indifférente.

mais il me semble qu'elle ne soit venue à moi que par intérêt. Je préfère ne pas penser. j'essaie d'agir, proprement, humainement.

Ce matin, une ampoule s'est éteinte entre le lever de mon être et le douche. Un pop et plus rien. Pas le temps d'en changer. On verra.

Je ne sais que penser de Santogold.

Lecture de "Le petit grain de café argenté" de Guillaume Tavard. London par les sandwiches. Why not??